Qui est Ibn Abi al-Hadîd, l’auteur du Charh Nahj al-Balâgha ?

Dans le cadre de leur propagande, les Imamites citent souvent des personnes qu’ils déclarent être des grands savants Sunnites alors qu’en réalité ce sont de parfaits Chiites, parmi eux Ibn Abi al-Hadid, et font croire à leurs interlocuteurs qu’il s’agit là d’un savant sunnite qui témoigne en leur faveur. Et bien entendu, ils jurent à qui veut bien les croire que :

Vous savez ce que vous diront les Sunnites? Oui mais Ibn Abi Alhadid est Chiite! Ce qui est faux! En effet, Ibn Abi Al-Hadîd est un Mo’tazilte et n’a jamais dit qu’il était Chiite. Il fait partie de Ahl Al-Sunna, mais comme il dérange, alors on le qualifie de Chiite afin de le discréditer.1

Qu’en est il réellement ? Qui est véritablement Ibn Abi al-Hadid ? Cet article se propose de vous apporter des éléments de réponse.

C’est pour répondre à ce mensonge répété que nous avons pensé nécessaire la rédaction de cet article, pour ce faire nous vous présenterons dans un premier temps les propos de savants Imamites qui démontrent clairement que cet Ibn Abi al-Hadid était un bani jildatihim [un des leurs]. Puis nous citerons deux savants Sunnites qui nous éclairerons également sur la véritable nature de cet Ibn Abi al-Hadid. Nous nous contenterons ici de citer uniquement deux savants Sunnites car en réalité, ils sont nombreux, notamment les biographistes Sunnites, à déclarer que ce personnage n’est nullement Musulman Sunnite.

Que disent les savants imamites sur ce personnage ?
– Al-Khawansari rapporte :

Il est ‘Izzou ad-Din Ibn Abi al-Hassan Ibn Abi al-Hadid al-Mada’ini, il est l’auteur du célèbre Charh Nahj al-Balâgha, parmi les plus vertueux, suivis et parmi les plus nobles, érudit, allié, loyal envers les Les Infaillibles, Les Purs, bien qu’il se drapait des habits des Ahl al-Sunnah wa al-Jamâ’a [un propos on ne peut plus explicite concernant la taqiya de ce personnage]. En ce qui concerne les preuves de sa haute érudition dans la religion et son extrémisme envers Amir al Mu’minîn Ali,que la Paix soit sur lui, son noble ouvrage d’exégèse [Charh Nahj al-Balagha]. Il est né à Ghazza au mois de Dhul Hijja de l’année 586 de l’Hégire, parmi ses ouvrages, Charh Nahj al-Balâgha composé de 20 volumes. Il a écrit cet ouvrage pour la bibliothèque du vizir Muwayyi ad-Din Muhammad ibn al-‘Alqami. Lorsqu’il (acheva et) envoya son ouvrage, via son frère Muwaffaq abi al-Ma’ali, Ibn al-‘Alqami lui remit 100 dinars, un habit luxueux et une monture2.

– Al-Qummi écrit :

Il est né à al-Mada’in. La majorité de ses habitants étaient Chiites et versés dans l’extrémisme et l’exagération. Il suivit leur chemin et devint comme eux. Il composa en vers ces croyances (imamites extrémistes) dans l’ouvrage connu sous le nom de al ‘Alawiyat Assab‘ selon le style (des gens chiites extrémistes de Mada’in). Ces vers font apparaitre un Chiisme, un extrémisme et débordent d’excès.[…] Il s’en alla ensuite à Baghdâd, et il pencha vers l’I’tizâl [Rationalisme] et il devient comme le dit l’auteur du Nuskhat al-Sihr 3un Mu’tazili Jâhidhien (un courant de l’Itizal, école d’al-Jâhidh) dans la plupart de son exégèse après avoir été un Chiite extrémiste. Il décéda à Baghdâd en l’an 655. Le grand Ayatollah al-Hilli rapporte de lui via son père4.

– L’I’tizâl affiché par Ibn Abi al-Hadîd est un stratagème issu de la Taqiya car de nombreux savants Chiites ont affiché une affiliation à une école de croyances ou de jurisprudence islamique afin de masquer leur réelle appartenance.

Le savant Chiite Mohammed Hussein Kâshif Al-Ghita rapporte à ce propos :

والإمام في علوم العربية والنوادر أبو عبد الله محمد ابن عمران المرزباني صاحب المعجم الذي نص السمعاني وغيره على تشيعه واعتزاله(1) إلى كثير يضيق الاحصاء.

Et l’imam dans les sciences arabes et anecdotes Abu Abdillah Muhammad Ibn ‘Imran al-Marzabani auteur du livre al-Mou’jim comme l’a souligné al-Sam’ani et d’autres, était un Chiite malgré son I’tizal.5

Et en note de bas de page, il écrit :

(1) التشيع بالمعنى الخاص ينافي الاعتزال، ويكفي في تحقيق المباينة أن الشيعة تقول بالنص والمعتزلة لا تقول به، ولكن كثيراً من الشيعة كانوا يتظاهرون بالاعتزال، لمصلحة كانت يقتضيها ذلك الوقت، ومنهم يحيى بن زيد العلوي، الذي ينقل عنه ابن أبي الحديد جملة من التحقيقات العالية. فليفهم هذا.

Le Chiisme au vrai sens du terme contredit al-I’tizal. Il nous suffit, en faisant la comparaison, de savoir que les Chiites disent qu’un texte divin existe (concernant la désignation de l’imam Ali Radiyallahou Anhou) alors que les Mu’tazilites ne le reconnaissent pas. Sauf qu’un grand nombre de Chiites firent semblant d’être des Mu’tazilites pour des raisons qu’exigeait cette époque, et parmi eux Yahya Ibn Zaïd al-‘Alaoui de qui Ibn Abi al-Hadid rapporte quelques vérifications de haut niveau.

– Agha Bozorg al-Tehrâni le recense dans son ouvrage bien connu al-Dhari’a ila Tasânîf al-Chî’a traduisible par « l’intermédiaire pour accéder aux ouvrages chiites ». Sur différents sites imamites, cet ouvrage est présenté comme recensant les travaux des savants Chiites et Ibn Abi al-Hadid trouve allègrement sa place dans ce livre, l’on peut même voir la relation étroite que cet individu entretenait avec le Vizir Chiite Ibn al-‘Alqami, celui qui complota avec les Mongols contre le Calife en place et les Musulmans, complot à l’origine de la chute de Baghdâd et du massacre de centaines de milliers de Musulmanes et Musulmans. Extrait :

للشيخ عز الدين أبي حامد عبد الحميد بن هبة الله بن أبي الحديد المعتزلي المولود في المدائن سنة 586 و المتوفى ببغداد سنة 655 هو في عشرين جزء طبع بطهران جميعها في مجلدين في سنة 1270 و طبع بعد ذلك في مصر و غيرها مكررا ، و قد ألفه للوزير مؤيد الدين أبي طالب محمد الشهير بابن العلقمي و كتب له إجازة روايته ، و قد رأيت صورة الإجازة في آخر بعض أجزائه في مكتبة الفاضلية قبل هدمها و لعلها نقلت إلى الرضوية ، كما أنه نظم القصائد السبع العلويات المطبوعة بإيران في سنة 1317 أيضا للوزير ابن العلقمي و قد رأيت نسختها التي كانت عليها خط ابن العلقمي في مكتبة العلامة الشيخ محمد السماوي و لا أدري إلى من انتقلت بعده و لكثرة نسخه أغمضنا عن ذكر خصوصياته6.

 

Nous apprenons en lisant ci-dessus l’extrait de l’oeuvre Chiite Ad-Dhari’a concernant le livre Charh Nahj al-Balâgha qu’Ibn Abi al-Hadîd l’a écrit pour le traître Chiite imamite Ibn Al ‘Alqami alors qu’il était sous ses ordres. Agha Bozorg al-Tehrani a également signalé dans son livre qu’il a vu l’approbation du traître al-‘Alqami écrite sur l’un des tomes de Charh Nahj al-Balâgha.

Dans un autre de ses ouvrages, Agha Bozorg al-Tehrani écrit la chose suivante :

ترجمه ابن الفوطي في تلخيص مجمع الآداب مع الإطراء على شرح النهج
ولابن أبي الحديد السبع العلويات نظمها في 611 للوزير الشيعي ابن العلقمي ذ 12 129 وقد شرحها يوسف بن ناصر الغروي ذ 16 40 ذكر في مقدمة الشرح أحوال ابن أبي الحديد نقلا عن ابن الفوطي المذكور قال وشرح النهج أيضا في 649 باسم الوزير ابن العلقمي وتخلص من مقتلة المغول لكونه في دار ابن العلقمي ثم حضر عند الخواجه نصير الدين الطوسي ففوض إليه خزائن الكتب ببغداد مع أخيه موفق الدين وتاج الدين علي بن أنجب ولم يطل بعد ذلك فمات في ج 2 سنة 656 عن سبعين سنة وستة أشهر

Ibn al-Fuwatî a relaté sa biographie dans Talkhîs Majma’ al-Adâb en faisant l’éloge du Charh (exégèse) de Nahj [al-Balâgha] :Ibn Abi al Hadid, auteur des [al Qasa’id] al-Sab’ al-‘Alawiya (compilation de poèmes) qu’il a composé en 611 pour le Vizir Chiite ibn al-‘Alqami, qui a été commenté par Yussuf ibn Nâsir al-Gharawi qui a mentionné en introduction de son commentaire des éléments d’informations [biographiques] sur Ibn Abi al-Hadid qu’il a rapporté de ibn al-Fuwatî sus-mentionné. Il (Yussuf Ibn Nâsir al-Gharawi) a dit : Il (Ibn Abi al-Hadid) a également entrepris l’exégèse de Nahj [al-Balagha] en l’an 649 au nom du Vizir ibn al-‘Alaqmi et il fut épargné des massacres des Mongols (tatars) en raison de son refuge dans la maison d’Ibn al-‘Alqami puis se mis au service du Maître Nâsir Din al-Tûsi qui lui confia la charge des bibliothèques de Baghdâd avec son frère Muwaffaq Din et Taj Din Ali ibn Anjab. Il ne vécut pas longtemps après cela [les massacres par les Mongols], il mourrut en l’an 656h à l’age de 70 ans et 6 mois7.

– Qu’en disent les savants sunnites ?
Venons en maintenant à ce que disent les savants Sunnites sur ce sinistre personnage.
– Le célèbre exégète et historien Sunnite Ibn Kathir dresse un portrait d’Ibn Abi al-Hadid dans son ouvrage d’histoire :

Ibn Abi al-Hadid al ‘Iraqi : le poète ‘Abd al-Hamid ibn Hibattillah ibn Muhammad ibn Muhammad ibn al-Hussayn, Abu Hamid, Ibn Abi al-Hadid, ‘Izz-d-din al Mada’ini, l’homme de lettre, le poète éloquent, le Chiite extrémiste. Il est l’auteur du commentaire de Nahj al-Balagha composé de vingt volumes. Il est né à al-Mada’in en 586H au début du mois de Dhu-l-Hijja. Ensuite il se rendit à Baghdad et devint un des poètes et homme de lettre de la cour du califat. Et il était choyé par le Vizir Ibn al ‘Alqami, du fait qu’ils avaient tous deux en commun le gout de la littérature et leur Chiisme8.

Leur relation est tellement étroite que lors du sac de Baghdad par les Mongols, ibn abi al-Hadid trouvera refuge dans les appartements de son ami Vizir. C’est ce que raconte très précisément Agha Bozorg al-Tehrani dans un autre endroit de son ouvrage al-Anwar al-Sati’a comme nous avons pu le voir précédemment. On pourra lire également dans cette page, qu’il était en relation très étroite avec l’autre traite Chiite de cette époque Naçir Din al-Tusi, à qui il confia le contenu de la bibliothèque de Baghdad.

– Le Cheikh Al-Alusi décrit Ibn Abi al-Hadid de cete manière :

الفرق الرابعة الشيعة الغلاة : هم عبارة عن القائلين بألوهية الأمير علي كرم الله وجهه , ونحوه من الهذيان . قال الجد روح الله روحه : وعندي إن ابن أبي الحديد في بعض عباراته ـ وكان يتلون تلون الحرباء وكان من هذه الفرقة , وكم له في قصائده السبع الشهيرة من هذيان , كقوله يمدح الأمير كرم الله تعالى وجهه :
ألا إنما الإسلام لولا حسامه . . . . كعفطة عنز أو قلامة حافر
وقوله :
يجل عن الأعراض والاين والمتى . . . . ويكبرعن تشبيهه بالعناصر
وقال أيضا :
تقليت أخلاق الربوبيه التي . . . . عذرت بها من شك انك مربوب

Le quatrième groupe Chiite « al-Ghoulat (les extrémistes) » : Ce sont ceux qui prétendent la divinité de l’Emir Ali (karramallahou wajhou) et d’autres délires. Mon grand père a dit : pour moi Ibn Abi Al-hadid, dans certaines de ses déclarations, -et comme il change d’attitude comme change un caméléon de couleur- faisait parti de ce groupe. Et combien de fois, dans ces poèmes célèbres al-sab’  on trouve des paroles délirantes en faisant des éloges au prince (karramallahou wajhou) :
N’est il pas vrai que l’Islam sans l’épée de Ali….est comme un pet9de bique ou une rognure de sabot.
Il est au dessus des biens matériels [de ce bas monde], du où (i.e lieu) et du quand (i.e temps)…il est au dessus de le comparer a des éléments [terrestres]10.
Tu présentes des ressemblances avec les caractéristiques de la Seigneurie dont….est excusé en cela celui qui doute que tu es toi un vassal (sous l’autorité du Seigneur)11.

Comme on peut le voir à travers ces quelques vers de poésie, le Ghulu (extrémisme) de ibn Abi al-Hadid vis à vis de Ali  apparait très clairement, il va jusqu’à le comparer au divin !

Pour finir voici un petit résumé sur l’histoire du traitre Ibn al-‘Alqami relaté dans Al-Bidayat wa-Nihayat d’ Ibn Kathir :

Ibn Al ‘Alqami était un ministre du Calife ‘Abbasside al-Mu’tasim Billah.Il était un Chiite Rafidhi, alors que le calife était un Sunnite, sur la manière de Ahl al-Sunnah wa al-Jama’ de même que son père et son grand père, sauf qu’il était parfois clément et négligent. De temps en temps le ministre Chiite manigançait secrètement derrière le dos du calife, mettant en scène ses plans pour la destruction de l’état Sunnite et l’établissement d’un état Chiite.
Ainsi, étant ministre dans le gouvernement du calife, ce dernier ne se souciait guère d’Ibn al-‘Alqami qui commença par affaiblir l’armée du calife en gênant l’inscription des nouvelles recrues. A cette époque, l’armée avait atteint autour de cent mille soldats, certains de leurs commandants avaient la puissance et le respect des rois. Ibn al ‘Alqami, avec ses manigances l’a réduite jusqu’au nombre de dix mille soldats seulement. Il a changé leurs lignes de front en d’autres positions moins significatives, telles que des gardes pour les préposés de marché et des portes des mosquées.
Une fois qu’il avait accompli ceci, la ville de Baghdad n’ayant aucune armée pour protéger les Musulmans, Ibn al-‘Alqami a écrit au Tatar (les Mongols). Il les a encouragés à envahir Baghdad, la décrivant comme facile et leur indiquant la réalité du gouvernement et ses forces. Ainsi quand l’armée du Tatar (près de cent mille soldats) a campé aux alentours de Baghdad sous le commandement de Hulakou, le premier qui est sorti les rencontrer était Ibn Al ‘Alqami, avec sa famille, ses amis, et ses serviteurs. Après avoir rencontré Hulakou, il est revenu auprès du calife et lui a suggéré de sortir et rencontrer Hulakou, et pour le bien-être de la nation, lui offrir la moitié de tous les impôts fonciers annuel de l’Irak. Il a continué à convaincre le calife jusqu’à ce qu’il soit sorti pour le rencontrer en présence de plus de sept-cent juges et disciples.
Ainsi lorsqu’ils rencontrèrent Hulakou, seuls le calife et dix-sept autres personnes entrèrent, les autres furent tués. Après sa rencontre avec Hulakou, le calife retourna à Baghdad en compagnie d’ Al-Tussi et d’Ibn al-‘Alqami ainsi que d’autres. Pour lui apporter beaucoup d’or et de bijoux. Dès son retour à son palais, l’ordre a été donné pour le tuer. On rapporte que celui qui a suggéré à Hulakou de tuer le calife était d’Ibn al-‘Alqami lui-même avec Al-Tusi. »
Après que le calife ait été tué, Hulakou a donné l’assaut, tuant des hommes, des femmes, des enfants, des vieux et même des malades. Beaucoup de gens se sont cachés dans des puits pendant des jours pour ne pas être trouvé, ou se sont  réfugiés sur les collines et montagnes. Les Tatars ont continué leur sac et massacre, tuant les Musulmans même sur les toits de leurs maisons et à l’intérieur des mosqués, jusqu’à ce que les rues se remplissèrent de sang comme l’eau de pluie dans une vallée. Personne n’était en sécurité, excepté les juifs, des Chrétiens et ceux qui ont trouvé refuge dans la maison du Chiite imamite Ibn Al-‘Alqami. Le massacre a continué jusqu’à ce qu’on lui ai dit que le nombre de morts eut atteint un million de corps12.

On remarque donc qu’en réalité Ibn Abi al-Hadid était un Chiite extrémiste. Son I’tizal était un paravent et son livre Charh Nahj al-Balagha a été rédigé sur commande pour le compte du traitre Ibn al ‘Alqami, qui avec l’aide de l’autre traitre de l’époque, dont Khomeyni ne tarit pas d’éloges dans ses livres, Naçir Din Al-Tusi ont livré Baghdad aux Mongols, causant la mort de centaines de milliers de Musulmans, la destruction de cette ville et la chute du califat Abasside.

  1. Commentaire d’un propagandiste sur un forum chiite francophone.
  2. Al-Khawansari, Rawdat al-Janna, volume 5 page 19/21
  3. C’est un ouvrage qui mentionne les savants Chiites poètes, preuve supplémentaire du Chiisme d’Ibn Abi al-Hadid
  4. Al-Qummi, al-Kuna wal-Alqab, vol.1 page 185
  5. Mohammed Hussein Kâshif Al-Ghita, Asl al-Chî’a wa Ousoûliha, page 33
  6. Agha Bazrak al-Tahrani, ad-Dhari’a ila Tasanif as-Shi’a. Pour information Agha Bazrak al-Tahrâni est l’élève du fameux traditionaliste Nuri al-Tabarsi, auteur du huitième et dernier ouvrage de référence Imamite et auteur également d’un pamphlet qui vise à démontrer que le Coran est falsifié.
  7. Agha Bozorg al-Tehrani, Al-Anwar al-Sati’a, page 46
  8. Ibn Kathir, al-Bidâya wa al-Nihâya, volume 13 page 233
  9. Ou excrétions du nez d’après les commentateurs imamites
  10. Les commentateurs imamites de ce vers justifient cette image en disant qu’en effet Ali a été créé de Lumière, donc incomparable aux être humains créés eux d’argile.
  11. Al-Alusi, Moukhtassar al-Tuhffa al-Ithna ‘Asharia, page 9
  12. Résumé du passage de l’ouvrage de ibn Kathir Al-Bidayat wa-Nihayat, volume 13 page 212, relatif aux manigances du traître ibn al-‘Alqamî

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