Fiction ou réalité ? (Acte II)

Le mois de Ramadan constitue pour les Musulmans l’un des cinq piliers de leur religion, durant lequel ils doivent s’abstenir de manger et de boire, ils doivent aussi s’éloigner plus encore qu’à l’accoutumée des choses nuisibles pour leur foi telles que les conflits, disputes ou rassemblements pour y manger la « chair de son frère mort »,  et d’autre part ils doivent multiplier les actes  d’adoration comme la prière surérogatoire, l’invocation d’Allah, multiplier les aumônes, en somme les Musulmans doivent se rapprocher le plus possible de leur Seigneur.
Dans le Chiisme Imâmite également, le croyant est appelé à se rapprocher de son Seigneur durant ce mois béni… c’est ainsi que nous allons passer une journée avec Abdelhossein, un jeune Chiite ayant certes peu de connaissances mais ô combien désireux d’apprendre les subtilités de sa religion et de goûter aux délices de la foi.
Attention : Le récit que vous allez lire ci-après est un récit purement fictif mais sa trame est construite autour des récits et fatawi prononcés par les savants Imamites et en ce sens il est « imamitement correct » sur le plan du Fiqh Imamite, c’est-à-dire que le déroulement d’un tel scénario dans la réalité ne contreviendrait en rien au Fiqh Imamite sur le mariage temporaire.
Et c’est précisément pour illustrer ces hérésies que nous vous proposons de découvrir ce Fiqh imamite au sujet du mariage temporaire, sous une forme « ludique ».
13 heures, harassé par la dureté de son travail Abdelhossein rentra chez lui. En se dirigeant vers sa chambre, il entendit des rires dans la pièce voisine, sa petite sœur Amatuzahra âgée de quatorze ans était avec le Cheikh al-Farsi, un enseignant renommé de la hawza de sa ville Qom qui flirtait tout bonnement avec sa petite sœur dans son lit.

– Abdelhossein choqué, s’écria : « Cheikh al-Farsi que fais-tu ici ? »
– Al-Farsi lui répondit : « Je suis dans la maison de mon beau-père! »
– Abdelhossein hors de lui, dit à son Cheikh : »Tu es complètement malade ô Cheikh ! Que fais-tu dans la chambre de ma petite sœur ?! »
– Sa petite sœur Amatuzahra répondit avec une pudeur qui se lisait sur son visage : »C’est mon mari. »
– Abdelhossein lui répondit : « Comment ça ton mari ? Qui vous a mariés ? Après notre défunt père, je suis devenu ton tuteur. »
– Al-Farsi : « Qu’as-tu donc ? N’as-tu pas entendu l’Imam Jaafar As-Sâdiq dire :

عن أبي عبد الله (عليه السلام) قال: لا بأس بتزويج البكر إذا رضيت من غير اذن أبويها
D’après Abu Abdillah (as) : « Il est permis d’épouser la vierge si elle est d’accord sans demander l’accord de son père1. »

– Abdelhossein : »Ô Cheikh, n’as-tu pas déjà quatre épouses ? Comment peux-tu donc en épouser une cinquième ?
– Al-Farsi répondit : »Ô toi qui ignore notre Religion, n’as-tu pas entendu notre Imam Jaafar As-Sâdiq dire :

عن أبي عبد الله (عليه السلام) قال: ذكرت له المتعة أهي من الاربع؟ فقال: تزوج منهن ألفا فإنهن مستأجرات
On évoqua devant Abu Abdillah (as) la question de la femme que l’on épouse dans le cadre d’un mariage temporaire : ‘ »Fait elle partie des 4 [femmes]2 ? Il répondit : « Épouse mille d’entre elles3. »

– Abdelhossein abasourdi s’adressa à sa sœur : « Honte à toi ma sœur, qui était témoin à ton mariage ? »
– Amatuzahra, les joues rouges de honte : « Cheikh al-Farsi m’a dit que Jaafar As-Sâdiq a dit :

عن أبي عبد الله (عليه السلام) – في حديث المتعة – قال: وصاحب الاربع نسوة يتزوج منهن ما شاء بغير ولي ولا شهود.
D’après Abu Abdillah (as) : « Il épouse qui il veut sans tuteur, ni témoin4. »

– Amatuzahra continua : « Pourquoi es-tu fâché ô mon frère ? Tu vois c’est une parole du Ma’soum [l’Infaillible]. »
– Abdelhossein fou de rage dit : « Quand ce mariage va-t-il se terminer ? »
– Amatuzahra : « Ne sois pas inquiet mon frère, le Cheikh al-Farsi respectera notre accord et s’en ira de la maison.
Cheikh al-Farsi : « Oui ne t’inquiètes donc pas, je ne serai pas long, je ne vais rester que la moitié de ce qui avait été convenu. »
– Abdelhossein : « Que veux-tu dire par la moitié de ce qui avait été convenu ô Cheikh ? »
Le Cheikh ne sachant comment s’expliquer sur ce propos se tut.
– Amatuzahra dit : « Q’as-tu mon frère ? Le Cheikh est digne de confiance et il va appliquer le Hadith de notre Imam Jaafar As-Sâdiq :

عن زرارة قال: قلت له: هل يجوز أن يتمتع الرجل بالمرأة ساعة أو ساعتين؟ فقال: الساعة والساعتان لا يوقف على حدهما ولكن العرد والعردين واليوم واليومين والليلة وأشباه ذلك
Zurara rapporte qu’il a interrogé l’Imam Jaafar As-Sâdiq : « Est-il permis à l’homme de jouir d’une femme une heure ou deux ? » Jaafar répondit : une heure ou deux on connait pas leur limites mais une fois5 ou deux et une journée ou deux6

– Abdelhossein frappant des mains dit : »Mâcha Allah ! »
– Amatuzahra lui dit : « Sais-tu ô mon frère que je recevrai une grande récompense de la part d’Allah comme le Cheikh me l’a affirmé. »
– Cheikh al-Farsi baissant sa tête par souci de montrer sa crainte d’Allah dit : « L’Imam Jaafar as-Sâdiq a dit :

عن أبي عبد الله (عليه السلام) قال: ما من رجل تمتع ثم اغتسل إلا خلق الله من كل قطرة تقطر منه سبعين ملكا يستغفرون له إلى يوم القيامة ويلعنون متجنبها إلى أن تقوم الساعة
D’après Abu Abdillah : « Chaque homme qui prend un bain après avoir jouit [temporairement] d’une femme, Allah lui créera de chacune de ces gouttes [d’eau] soixante-dix anges qui imploreront le pardon d’Allah pour ses péchés jusqu’au Jour de la Résurrection. Ces Anges maudissent ceux qui ne la (la Mut’ah) pratiquent pas7. »

– Abdelhossein : « As-tu perdu la raison ? »
Cheikh al-Farsi : « pourquoi ? »
– Abdelhossein enragé dit : « Mais nous sommes en plein mois de Ramadan et il est 14h !! Comprends-tu ? Il est 14h et le mois c’est Ramadan !! »
– Sa sœur Amatuzahra répondit toujours avec pudeur qui se voyait sur son visage : « Subhana Allah mon frère, je lui ai fait avant le mariage la même remarque car je suis très soucieuse d’obéir aux règles strictes de ma religion mais Cheikh al-Farsi m’a répondu immédiatement comme d’habitude, mâcha Allah sur lui, avec les preuves et bien sûr il m’a cité la référence que voici :

عنه عن بعض الكوفيين يرفعه إلى ابي عبد الله عليه السلام قال: في الرجل يأتي المرأة في دبرها وهي صائمة قال: لا ينقض صومها وليس عليها غسل.
On interrogea Jaafar as-Sâdiq à propos de l’homme qui sodomise la femme en état de jeûne. Jaafar répondit : « Son jeûne est valide et il n’y a pas de Ghusl (bain rituel) la concernant8. »

– Amatuzahra continua : « Comme tu vois mon frère moi je suis les dires de nos Infaillibles et al-Hamdoulillah je n’ai pas à prendre de bain et mon jeûne est correct. »
– Abdelhossein : « Pauvre fille, tu es encore vierge et cet imposteur ne t’a pas dit que la Mut’ah ne concerne que les divorcées et celles qui ont perdu leur mari ?? »
Cheikh al-Farsi répliqua aussitôt en clignant ses sourcils : « Ton ignorance de la religion des partisans de Ahl al-Bayt est flagrante ! Car en effet, écoute ceci :

عن أبي عبد الله (عليه السلام) قال: سألته عن التمتع بالابكار ؟ فقال: هل جعل ذلك إلا لهن فليستترن وليستعففن.
l’Infaillible (Abu Abdullah as) fut interrogé sur la jouissance des vierges : « N’est–elle (la Mut’ah) pas faite que pour elles (les vierges) et ainsi leur permettre de protéger leur pudeur et leur chasteté ?9« 

– Amatuzahra : « al-Hamdoulillah, as-tu vu mon frère la facilité qui existe dans notre Religion ! »
Cheikh al-Farsi : « s’il te plait Abdelhossein, j’ai beaucoup de chose à faire alors laisse nous finir notre contrat. »
– Abdelhossein ne sachant quoi faire car Cheikh al-Farsi n’était pas digne de confiance, il dit : « Je ne bougerai pas d’ici. »
– Amatuzahra : Cheikh al-Farsi, s’il te plait trouve lui une fatwa qui va le dissuader, je veux continuer avec toi afin de prendre la totalité de la récompense divine. »
Cheikh al-Farsi : « D’accord, Abdelhossein voici une fatwa de notre référence Al-khu’ï, prends-la et mets-la en pratique dans n’importe quel endroit de la maison mais laisse-nous tranquille. »
– Abdelhossein : « Vais-je en tirer une récompense d’Allah ? »
– Amatuzahra : « Bien sûr puisque le Cheikh ne ment jamais. »
Cheikh al-Farsi: « Écoute mon fils, la référence, le savant et l’imam Al-khu’i (qadassa Allahou sirah) fut interrogé de cette manière :

س : هل يجوز التمتع بالخادمة الكتابية المخصصة لتنظيف المنزل وغسل الملابس وطهي الطعام أم لا ؟
. ج : أما الازدواج مع الكتابية فجائز حتى دائميا
Question : Est ce qu’il est permis de jouir temporairement de la servante, chrétienne ou juive, employée pour le nettoyage de la maison,
du nettoyage du linge et de la préparation des repas ?
Réponse : Pour ce qui est du mariage [temporaire] avec une femme du Livre (juive ou chrétienne), cela est permis, et même dans le cadre d’un mariage permanent10.

– Maintenant mon fils va prendre le ‘Ajr (la récompense d’Allah) auprès de la servante. »
– Abdelhossein hésitant : « Mais mon Cheikh, notre servante ne connait rien de l’Islam et de la religion de Ahl al-bayt, mon mariage temporaire avec elle n’aura aucun sens. »
Cheikh al-Farsi : « Son intérêt sera de gagner de l’argent. Aller va maintenant et applique. »

Après ces preuves irréfutables présentes dans les ouvrages de référence imâmites, Abdelhossein était dorénavant convaincu du bien-fondé de l’acte de sa sœur avec le Cheikh  et il alla donc lui aussi profiter des bienfaits de cette Religion avec la servante de leur maison.
Une heure après avoir bénéficié de la totalité de la récompense d’Allah, Abdelhossein bien plus désireux encore d’apprendre sa Religion qu’il ignorait totalement jusqu’à ce jour, demanda au Cheikh al-Farsi de lui enseigner les secrets de cette Religion.
Le Cheikh al-Farsi accepta donc et le ramena chez lui, en chemin al-Farsi récupéra son bébé de la garderie du quartier et une fois arrivés à la maison, le Cheikh confia son enfant à Abdelhossein et sorti pour aller donner son cours de 16h. Al-Farsi était responsable de la classe des garçons de 12 ans, le cour du jour était  « comment faire du Coran notre parole quotidienne ».
Le Cheikh avait eu la bonne idée de commencer la séance théorique en citant un passage du grand savant imâmite Yusuf al-Bahrani11.

– Al-Farsi : « Mes chers enfants notre grand savant a rapporté un récit plein de pudeur et de crainte d’Allah, dans lequel il nous montre comment les gens pieux ont fait du Coran leurs paroles quotidiennes et voici l’histoire telle qu’elle se trouve dans son ouvrage al-Kachkul 12:

في الأثر أن أبا نواس مر على باب مكتب فرأى صبيا حسنا فقال :
تبارك الله أحسن الخالقين.
فقال الصبي :
لمثل هذا فليعمل العاملون.
فقال أبونواس :
نريد أن نأكل منها وتطمئن قلوبنا ونعلم أن قد صدقتنا ونكون عليها من الشاهدين.
فقال الصبي الأمرد :
لن تنالوا البر حتى تنفقوا مما تحبون.
فقال أبو نواس :
اجعل بيني وبينك موعدا لاا نخلفه نحن ولا انت مكانا سوى.
فقال الصبي :
موعدكم يوم الزينة وان يحشر الناس ضحى.
فصبر أبو نواس الى يوم الجمعة فلما أتى وجد الصبي يلعب مع الغلمان .
فقال أبو نواس :
والموفون بعهدهم اذا عاهدوا.
فمشى الصبي مع أبو نواس الى مخدع خفي !!! فناوله دينارا في ورقة فظن الصبي انه درهم فقال: 
ما قدروا الله حق قدره
فقال أبو نواس:
إنها بقرة صفراء فاقع لونها تسر الناظرين
فعلم الصبي أنه دينار
فاستحى أبو نواس أن يقول للصبي نم ؟؟؟
فقال أبو نواس :
ان الذين يذكرون الله قياما وقعودا وعلى جنوبهم .
فقام الصبي وحل سراويله وقال :
اركبوا فيها بسم الله مجريها ومرساها.
فركب أبو نواس على الصبي . فأوجعه !!!!!!!!!!
فقال الصبي :
إن الملوك إذا دخلوا قرية أفسدوها وجعلوا أعزة أهلها أذلة.
وكان قريبا منهم شيخ يسمع كلام الصبي وأبو نواس ويرى ما يفعلون. فقال يخاطب أبو نواس :
فكلوا منها واطعموا البائس الفقير .
فقال الصبي :
لا يكلف الله نفسا إلا وسعها

Dans un récit, Abu Nawas passa devant la porte principale d’une librairie, il vit un beau garçon et dit alors :
Gloire à Allah le Meilleur des Créateurs !13
Le garçon lui répondit : ۞C’est pour une chose pareille que doivent œuvrer ceux qui œuvrent14۞
Abu Nawas : ۞Nous voulons en manger, rassurer ainsi nos cœurs, savoir que tu nous as réellement dit la vérité et en être parmi les témoins15۞
Le garçon :  ۞Vous n’atteindrez la (vraie) piété, que si vous faites largesses de ce que vous chérissez16۞
Abu Nawas : ۞Fixe entre nous et toi un rendez-vous auquel ni nous ni toi ne manquerons, dans un lieu convenable17۞
Le Garçon : ۞Votre rendez-vous, c’est le jour de la fête. Et que les gens se rassemblent dans la matinée18۞
Abu Nawas patienta jusqu’au vendredi et quand il arriva, il trouva le garçon en train de jouer avec ses amis, alors Abu Nawas dit : ۞Et ceux qui remplissent leurs engagements lorsqu’ils se sont engagés19۞
Le garçon rejoignit Abu Nawas et s’isolèrent dans un coin, il lui donna un dinar caché dans un morceau de papier, le garçon croyant que c’était un dirham dit : ۞Ils n’ont pas estimé Allah à sa juste valeur20۞
Abu Nawas lui répondit : ۞C’est une vache jaune, de couleur vive et plaisante à voir21۞
Le garçon comprit alors que c’était un dinar.
Abu Nawas timide voulut lui dire de se coucher : ۞Qui, debout, assis, couchés sur leurs côtés, invoquent Allah22۞
Le garçon commença à se déshabiller et dit : ۞Montez dedans. Que sa course et son mouillage soient au nom d’Allah23۞
Abu Nawas monta sur le garçon et il lui fit mal, alors ce dernier lui dit : ۞Quand les rois entrent dans une cité ils la corrompent, et font de ses honorables citoyens des humiliés24۞
Près d’eux se trouvait un vieillard qui entendit la conversation d’Abu Nawas et du jeune garçon. Il dit en s’adressant à Abu Nawas : ۞Mangez-en vous-mêmes et faites-en manger le besogneux misérable.25۞
Le garçon répliqua : ۞Allah n’impose à aucune âme une charge supérieure à sa capacité26۞

La séance théorique terminée, Cheikh al-Farsi passa à la pratique et l’on pouvait entendre des cris d’enfants jusqu’au bout de la rue…
Le cours terminé, le Cheikh rentra chez lui et à sa grande surprise, il trouva Abdelhossein entrain de flirter avec son bébé et alla jusqu’à placer son sexe entre les cuisses de ce bébé.
– Cheikh
al-Farsi enragé dit : « Mais que fais-tu espèce d’animal ? C’est un bébé ?? »
– Abdelhossein souriant, regarda le Cheikh et lui dit avec une totale confiance : « Maître, j’ai profité de ton absence pour lire un livre de l’un de nos grands imams contemporains, Rûhullah al-Khomeyni et j’ai trouvé ceci »

لا يجوز وطء الزوجة قبل إكمال تسع سنين، دواما كان النكاح أو منقطعا. وأمّا سائر الاستمتاعات – كاللمس بشهوة والضمّ والتفخيذ – فلا بأس بها حتّى في الرضيعة.
« il n’est pas permis de pénétrer l’épouse tant qu’elle n’a pas atteint l’âge de 9 ans, que ce soit en contrat de mariage permanent ou en contrat temporaire, cependant les différentes jouissances telles que : toucher avec intention de se procurer du plaisir (bi chahwah), attirer et presser contre sa poitrine, placer son sexe entre ses cuisses, il n’y a aucun mal à cela même dans le cas d’un nourrisson (radî’ah)27.

La journée d’abdelhossein se termina ainsi, durant laquelle il avait pu découvrir les secrets de sa foi et pu savourer certains délices de sa religion qui, cachés dans les livres des bibliothèques, ne demandaient qu’à être dévoilés et mis en lumière aux yeux du monde.

  1. Wasa’il Al-Shia Tome 21, page 34
  2. C’est à dire, parmis les 4 femmes que l’homme peut épouser légalement, la limite étant fixée à 4  femmes maximum que l’homme peut épouser en même temps.
  3. Al-Kafi Tome 5, page 452
  4. Wasa’il Al-shia Tome 21, page 64
  5. Une relation sexuelle
  6. Al-kafi Tome 5 page 459
  7. Wasa’il al-Shia Tome 21, page 16
  8. At-Tahdhîb Tome 4 , page 319
  9. Wasa’il al-Shi’a Tome 21, page 33
  10. Munyiat as-Sa’il de l’Ayatollah al-Khu’ï, page 10o. Fatwa N°847 disponible en ligne sur le site officiel de cet ayatollah : http://www.al-khoei.us ou à l’adresse suivante : Fatwa N°9 http://www.alseraj.net
  11. Le savant Damascène Muhsin al-Amin dans son célèbre ouvrage A’yan al-Chia Tome 10, page 317 disponible sur le lien suivant http://lib.eshia.ir : الشيخ يوسف بن أحمد بن إبراهيم بن أحمد بن صالح بن أحمد بن عصفور الدرازي البحراني صاحب الحدائق.توفي بكربلاء بعد ظهر يوم السبت 4 ربيع الأول سنة 1186. والدرازي منسوب إلى دراز بالدال المهملة المفتوحة والراء المخففة بعدها ألف وزاي من أفاضل علمائنا المتأخرين جيد الذهن معتدل السليقة بارع في الفقه والحديث وكان على طريقة الاخباريين. قال في حقه أبو علي صاحب الرجال: عالم فاضل متبحر ماهر محدث ورع عابد صدوق دين من أجلة مشايخنا المعاصرين وأفاضل علمائنا  Traduction : Cheikh Yusuf Ibn Ahmed Ibn Ibrahim Ibn Ahmed Ibn Saleh Ibn Ahmed Ibn Asfour Derazi al-Bahrani l’auteur de al-Hada’iq. […] Il est parmi les plus vertueux de nos savants contemporains, avec un bon esprit et d’une nature modérée, il était excellent dans la jurisprudence et le Hadith suivant la voie des Akhbaris. Abu Ali l’auteur de l’ouvrage al-Rijal dit à son compte: Un savant vertueux, connaisseur, ingénieux, érudit, pieux, il accomplissait beaucoup d’actes d’adoration, véridique , il est parmi les majestueux de nos Chouyoûkh contemporains et parmi nos savants connaisseurs les plus méritoires (vertueux). Une biographie de ce savant Chiite est disponible également sur le site chiite suivant http://www.alhadi.ws
  12. Al-Kachkul, Tome 3, Page 83
  13. Sourate 23 (Al-Mu’minun) – Verset 14
  14. Sourate 37 (As-Saffat) – Verset 61
  15. Sourate 5 (Al-Ma’idah) – Verset 113
  16. Sourate 3 (Al-Imran) – Verset 92
  17. Sourate 20 (Ta-Ha) – Verset 58
  18. Sourate 20 (Ta-Ha) – Verset 59
  19. Sourate 2 (Al-Baqarah) – Verset 177
  20. Sourate 22 (Al-Hajj) – Verset 74
  21. Sourate 2 (Al-Baqarah) – Verset 69
  22. Sourate 3 (Al-Imran) – Verset 191]
  23. Sourate 11 (Hud) – Verset 41
  24. Sourate 27 (An-Naml) – Verset 34
  25. Sourate 22 (Al-Hajj) – Verset 28
  26. Sourate 2 (Al-Baqarah) – Verset 286
  27. Tahrir al-Wassila de l’ayatollah al-Khomeyni, Vol.2, Page 241

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